mercredi 10 juin 2009

Hommage à Claude

je ne résiste pas à l'envie de partager avec vous ce nectar, ce velouté somptueux. Vie Violence très belle chanson de Claude Nougaro, reprise en version instrumentale par le grand Richard Galliano, accordéoniste de talent qui a souvent accompagné le chanteur Toulousain et cet excellent quartet.

6 commentaires:

  1. Fabuleux! ça fait des frissons partout!
    Cet été France inter va passer le dimanche vers midi un feuilleton sur Claude Nougaro!

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  2. ouaouh Elwood je me demandais de quel Claude tu parlais dans ton post, j'ai eu un sursaut car le premier Claude qui m'est venu à l'esprit c'est cloclo, alors j'ai eu peur, mais non pas possible pas Elwood LOOOOOOOL, (c'est dire comment on peut être conditionné... variétoche, sors de ce corps !!!) Génial Galliano et cette violoniste ouaaaaaaaa j'adoooore.

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  3. Normal pour un poulet de vouloir nous donner la chair de poule ;-) et avec Galliano (j'adore) et Nougaro (encore!) on a de quoi frissonner, vibrer, transplaner, s'embarquer, voyager, aimer........

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  4. J'étais déjà fan et ce que j'apprécie d'autant plus c'est que Galliano nous prouve que l'accordéon est un instrument capable de sortir des registres d'Yvette( et de ses tenues bleu blanc rouge!!!!).
    La première fois que j'ai entendu ce morceaux je me suis dit que je n'aurai jamais penser qu'un accordéon pourrait me donner la chair de poule...

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  5. Et bien moi, quand j'ai lu Claude, je n'ai pu m'empêcher de penser tout de suite à mon professeur de piano...mais après avoir écouté, je dois humblement avouer que cette musique me touche très profondément. L'image de l'accordéon (guinguette et tout le tralala) n'a aucunement lieu d'être. C'est une musique magnifique, un mariage d'instruments inattendu,...gros coup de coeur là! Merci pour ce moment musical magique que j'ai plaisir à découvrir, à écouter, à re-écouter...

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  6. vi et au passage merci aussi à Yann Tiersen qui a aussi redonné ses lettres de noblesse à l'accordéon ! Aucun instrument du monde ne mérite plus de mépris qu'un autre si l'on veut bien s'y attarder !

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